Après 40 jours au Vietnam en 2019 et 3 semaines en Inde en mars 2020 (ha ha), pays partiellement parcourus en moto, nous explorerons les routes indonésiennes pendant 2 mois, uniquement en moto, de l'est de Java à Florès. À suivre!
ROADBOOK: cliquez sur le lien ICIpour voir notre roadbook détaillé (itinéraire, suggestions hôtels, suggestions restaurants, excursions, etc.)
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27 JUIN : DE GIANYAR À KINTAMANI
On s'est gâtés pour la dernière journée!
Alors qu'on pensait que nos balades en moto s'étaient terminées hier avec notre arrivée à notre dernier hôtel, on a plutôt décidé de repartir pour un autre trip de moto aujourd'hui, une première du voyage, puisque jusqu'à maintenant, nous n'avions utilisé nos motos que pour aller d'un hôtel à un autre et que le reste du temps, on marchait, on kayakait ou on escaladait, mais on ne touchait pas aux motos.
Il faut dire que certains accès à des hôtels étaient difficiles, alors ça ne nous tentait pas de ressortir les motos une fois que nous avions réussi à atteindre l'hôtel et à les stationner...
Bref, grosse journée de moto aujourd'hui, on va voir les coins de Bali qu'on aurait voulus voir, mais qu'on n'a pas eu le temps de visiter. 137 km pour une belle finale!
Petit déjeuner d'épicerie sur le balcon : 2 croissants au chocolat chacun, en sachets comme nos cafés... pas si mal quand même.
On grimpe dans la montagne, nous arrivons à Kintamani
Première étape après une heure de route : restaurant de luxe avec vue de luxe, à Kintamani, ville d'où partent les excursions organisées au volcan Batur, que l'on voit aussi sur la photo. On n'a pas voulu faire l'excursion, car elle est trop populaire et se résume à faire la queue-leu-leu tout le long du sentier pour arriver au cratère.
Au loin, le volcan Agung qu'on a pu admirer sous plusieurs de ses facettes pendant le voyage et qui se cache en partie derrière les nuages
Sur la crête au départ de Kintamani, avant de redescendre vers Sidemen
Petit arrêt sur petite route de montagne pour solidifier un peu mon rack de moto qui vient encore de casser (pas grave, on n'en n'aura plus besoin).
Autre arrêt restau de luxe, le Lereng Agung, pour voir la vue sur les rizières, point d'entrée d'une région, Sidemen, que j'aurais bien voulu visiter et qu'on traversera en long et en large aujourd'hui!
2 milkshakes aux bananes ici + 2 capuccinos glacés au 1er restau = prix de notre nuit à l'hôtel. Mettons qu'on a payé pour la vue dans les deux cas.
Au départ du restaurant, une route comme on les aime, étroite, tortueuse, la nature est luxuriante!
Un peu plus loin, nous passons au milieu des rizières, des plantations et des montagnes, devant le point de vue Telabah Lantang Desa Muncan, pas de trafic, pas de touristes Instagram, enfin le Bali que l'on aime!
On redescend de la montagne vers notre prochain point de vue
3e arrêt, point de vue le long d'une petite route bien tortueuse. L'endroit, le "Spot for Mount Agun" a l'air abandonné, mais l'arrêt en vaut la peine pour la vue incroyable sur les rizières et les montagnes.
Quelques kilomètres plus tard, la route se rétrécit encore et nous sortons une fois de plus de notre zone de confort.
Ce n'est qu'un début!
Et ça continue... Pas toujours évident de croiser d'autres véhicules!
On rajoute quelques trous là-dessus
Je commence à avoir mal au coeur là là. Et le fait que ma suspension est kaput, d'où le squick-squick constant et l'impression de rebondir sur une trampoline à chaque bosse, n'aide pas!
Sur la route, on croise souvent des enfants portant fièrement leur cerf-volant. Celui-ci est particulièrement impressionnant!
Quelques derniers petits virages amusants et nous retrouvons les routes normales et un peu plus encombrées qui nous amèneront vers notre dernier arrêt
Dernier arrêt de la journée : un des temples les plus imposants de l'est de Bali, le Pura Kehen Temple. On n'en pas visité un seul de tout le voyage, c'est comme ne pas aller voir les chutes du Niagara pour un Français en visite au Canada : inadmissible.
Alors, on accomplit notre devoir. Comme on est les seuls visiteurs, les vendeuses du temple (ça sonne biblique ça, pas hindou) se jettent sur nous comme les dragons du Komodo sur les cerfs et nous supplient de leur acheter tout leur inventaire.
On réussit à se limiter à 2 sarongs (dont on a besoin pour visiter le temple - mais qui sont prêtés normalement), mais ce fut ardu! Par contre, on aurait bien aimé se payer un guide, mais il n'y en avait pas dans les parages, alors on a visité, mais on n'a rien compris. Mais c'était bien beau et bien intriguant tout ça.
Superbe banian (ficus?), arbre sacré de l'endroit, vraiment impressionnant.
L'arbre a même droit à ses temples privés
Les portes que l'on trouve partout à Bali, souvent même au seuil des maisons pour accueillir la visite et écraser tout démon qui oserait les traverser.
Information supplémentaire trouvée ici : ces hautes constructions sculptées qui donnent l'impression d'une porte fendue en 2 sont ce qu'on appelle des "candi bentars".
Ce type de porte est apparu durant l'ère Majapahit. (13e - 16e siècle, dernière grande dynastie hindou-bouddhiste originaire de Java). On les trouve dans les temples pour y marquer la transition du monde profane au monde sacré, selon la croyance que si un démon essaie de franchir les candi bentars leurs 2 morceaux se rejoindront et le démon sera alors écrasé. Dans les temples, ces portes sont généralement gardées par les statues des gardiens du temple. Chaque relief réalisé sur chaque partie de la porte est le miroir de la partie opposée de celle ci.
On trouve également des candi bentars sur les routes de Bali, assez récents et décoratifs. mais qui ont aussi pour fonction de délimiter les territoires entre les villages, les communes, les régions, etc. Elles peuvent être simples ou très grandes et décorées selon les endroits. Vous pourrez y lire :Selamat datang :Bienvenue et en repartant :Selamat Jalan: bonne route.
On peut aussi en trouver devant les plages. Une légende Balinaise raconte que les candi bentars représentent les 2 moitiés du mont mythique Meru qui a été divisé par Shiva pour devenir le Mont Agung et le Mont Batur.
Stupides nazis qui ont gâché ce symbole qui était à l'origine un symbole signifiant "bien-être" dans la religion hindoue.
Prête à décoller, vroum vroum !
Dernier souper en Indonésie, nous retournons au même endroit que la veille, toujours bien accueillis par le proprio et sa famille.
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26 JUIN : DE AMED À GIANYAR (BALI)
Dernier matin à Amed, nous partons pour Giangyar ce matin, environ 100 km de moto et dernière destination puisque c'est là que nos motos seront récupérées par le locateur le 28 juin au matin.
Nous avons choisi de prendre la route la plus sportive (et la plus belle) pour rejoindre notre destination. Environ la moitié du trajet se déroule sur une petite route étroite, pas en très bon état, mais qui longe la côte et est tortueuse à souhait. Les paysages sont absolument magnifiques, ce qui nous permet de profiter de la mer jusqu'au bout, ce sera long avant qu'on la revoie!
La deuxième moitié est moins intéressante, mais tout aussi sportive à cause du trafic. On aura vraiment développé des habiletés en moto dont on n'aura jamais besoin au Québec (genre, on est rendus des vrais pros en line-splitting, illégal presque partout en Amérique du Nord). On roule beaucoup sous adrénaline aussi...
Notre dernier hôtel du voyage est situé au milieu des rizières et est très bien. Par contre, pas de déjeuner compris, les croissants et le café (les deux en sachet) de l'épicerie vont nous nourrir le matin (tant mieux, c'est meilleur que bien des déjeuners d'hôtel que nous avons eus!). Et on doit courir les warungs pour les soupers, pas évident non plus.
Photo classique du matin
L'arrivée fracassante des bateaux de pêcheurs le matin
La pêche n'est pas toujours très fructueuse, les deux pêcheurs que nous avons vus n'ont ramené que 3 poissons. Des fois, ils reviennent bredouilles.
Nous décidons de prendre la route le long de la côte, que l'on nous a décrite comme étroite, tortueuse et pas toujours en bon état, mais beaucoup plus belle et moins fréquentée que la route la plus directe.
Nous quittons Amed, dans quelques kilomètres on ne croisera plus aucun touriste, mais en attendant, c'est encore foule!
Nous retrouvons la vie normale et la population locale, ça fait du bien
Après Amed, ce ne sont que montées et descentes abruptes, avec passages dans de petits villages en bord de mer ou dans la montagne, c'est magnifique!
Oups, on manque le tournant à gauche (en début de vidéo) et ça nous prendra plusieurs kilomètres de montée raide et de virages serrées sur une route rétrécie avant d'avoir des doutes (et le GPS n'aide pas beaucoup). Mais wow la vue!
On redescend pour retrouver la bonne route, pas mécontents quand même de ce joli détour
Environ à mi-chemin de notre destination, Angantaka (au sud de Ubud), nous arrêtons comme à l'habitude vers la moitié du trajet, dans un warung au bord de la route, le Makan Mare Demen. La mer est juste derrière. Et le retour à la civilisation juste après. Nous n'étions vraiment pas pressés de retrouver les villes et le trafic.
On voit presque Jacques en train de siroter son thé glacé aux fruits trop sucré.
Retour à la réalité du Sud de Bali
Nous arrivons vers 13h00 à notre hôtel, le Griya Bun Sari.
La vue sur les rizières, de l'hôtel. L'environnement est vraiment superbe et l'hôtel est parfait.
Les locataires sont un peu bruyants 😏
Et les cerfs-volants toujours actifs!
Les temples hindous sont plus nombreux et plus gros que les maisons, on ne voit qu'eux dans les rues !
Nous risquons notre vie, non mais sérieusement!, pour aller manger à ce warung recommandé, le Warung Rujah Umak Giri, à 1.6 km de l'hôtel. Les Indonésiens ne marchent pas, alors pourquoi faire des trottoirs ou des bas-côtés? C'est réellement épeurant et nous n'essayons même pas de revenir dans le noir. Vive Grab (et le gentil proprio du warung qui nous avait proposé de nous ramener en scooter si Grab ne répondait pas, ce qui arrive souvent selon lui). Mais ça en valait la peine, c'était délicieux (et le seul que nous avons trouvé, après bien des recherches autour!), le proprio était super sympathique et sa petite-fille qu'il nous a fièrement présentée, adorable.
Ce genre de décor pour Instagrammeurs est super populaire à Bali (balançoires, plates-formes, coeurs, etc.) et je ne pouvais pas quitter l'Indonésie sans avoir ma photo sur un de ces gugusses!
Les rizières derrière le coeur
Les jus frais sont tellement bons en Indonésie, quand ils ne les inondent pas de sucre! Jus de fruit du dragon pour Jacques et jus de fraises pour moi, miam!
Il faut bien profiter de la belle piscine de l'hôtel, bravo Jacques!
Notre route aujourd'hui : 93 km de moto en 3 h 00
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24 JUIN : DE MUNDUK À AMED (BALI)
Nous avons quitté les montagnes ce matin en choisissant bien sûr l'itinéraire le plus tortueux possible pour rejoindre notre prochaine destination, soit Amed, au bord de la mer.
Petit déjeuner aux toasts maigrichonnes et aux oeufs pochés pas très pochés
À cause d'une autre grande fête hindoue, nous devons quitter la route principale et prendre un détour qui nous amène sur de toutes petites routes qui se rétrécissent de plus en plus.
La route dans les montagnes en partant de Munduk, dépassements un peu extrêmes!
Mais la palme revient à Jacques pour le pire dépassement de la journée
(voir à partir de la 45e seconde du vidéo)
Notre arrivée au beau milieu d'une cérémonie hindou, détour obligatoire par une petite route où on se perd allègrement
C'est super joli, mais c'est très très étroit!
Nous nous retrouvons finalement sur un petit pont qui débouche sur une côte maniaque en pavés, exactement ce qu'on se disait hier ne jamais vouloir faire. Bon, on ne peut pas arrêter, alors on fonce en essayant de ne pas caler les motos qui protestent énergiquement de tout cet effort, et on s'en sort, mais quand même un peu secoués!
Bien sûr, la photo ne reflète pas la verticalité de la côte, mais c'était toute une côte!
Petite pause Coca du coup.
En bonne compagnie au petit stand où on boit notre Coke froid. À Bali, tout le monde a son temple ou sa statue chez lui et il pousse des temples tous les 50 mètres, et pas des petits!
On trouve aussi beaucoup d'oiseaux en cage, qui servent de décorations sur les terrasses ou devant les magasins (celui-là agrémentait une station-service avec 6 autres collègues, chacun dans leur petite cage. C'est joli, mais tellement triste.
Nous retrouvons finalement la "grande" route qui longe le bord de la mer jusqu'à Amed
Petit détour pour passer par une "savane", mais finalement, pas de lions ni d'antilopes, mais plutôt beaucoup de gravier/roche bien épais et bien dérapant. On oublie le détour et on retourne à la route principale tant bien que mal.
Nous arrivons enfin à l'hôtel.
Amed est une très jolie petite ville, comme la plupart des petites villes à Bali, avec leurs temples et leurs fleurs, souvent recherchée par les touristes qui recherchent des endroits moins touristiques et plus authentiques, au même titre que Munduk et Pemuteran.
C'est sûr que si on compare au sud de l'île, on ne retrouve pas le trafic et les magasins de souvenirs et autres gugusseries touristiques de Ubud et des environs, mais nous avons été gâtés les 7 dernières semaines alors que nous avons croisé très très peu de touristes et dû pratiquer beaucoup notre indonésien.
À Amed (et Munduk et Pemuteran), tout le monde parle anglais, il y a plus de touristes que de locaux et on ne sent pas vraiment dépaysés. On s'ennuie presque des "Hey, Mister" et des "Good morning" l'après-midi! Mais, bon, cela reste des endroits magnifiques et les Indonésiens sont toujours aussi chaleureux et accueillants.
Notre hôtel, le Bubu Racok Homestay, et sa seule chambre qui donne...à l'intérieur. Sur une belle terrasse, d'accord, mais quand on sait que les autres chambres donnent sur la plage, on est un peu jaloux 😉
La grande chambre
La belle salle de bains
Et la drôle de douche : l'eau coule par le goulot du pot en céramique. Joli, mais on a déjà vu plus pratique!
Nous allons prendre un petit lunch dans un warung voisin. Une petite sieste, puis un peu de snorkeling (moi) et de barbotage (Jacques) sur la belle plage de sable noir, avant d'admirer le coucher de soleil sur le mont Ajung (le même mont qu'on admirait le matin de l'île voisine, Lombok, au début de notre séjour). La plage est bordée de petits hôtels et de homestays, c'est très touristique (surtout comparé à ce que nous avons vu jusqu'à maintenant), mais cela reste un des derniers coins relativement tranquille de Bali.
Quand il n'y a plus de place dans le restaurant et qu'on t'offre un petit cocon romantique à l'extérieur, c'est le bonheur! Très bon souper au Warung Lebah Sea View (là où nous avons très bien diné aussi)
Jus d'ananas et jus de mangue pour commencer
Ensuite, barracuda pêché le matin même, avec sauce au cari vert, un délice!
Puis, direction le bar voisin, le Wawa-Wewe Beach, pour deux cocktails à l'arak et un show!
La musique est entrainante et les touristes s'en donnent à coeur joie, n'hésitant pas à inviter les enfants qui trainent autour à venir se joindre à eux. C'est émouvant de les voir s'amuser et rire après les avoir croisés toute la journée sur la plage en train d'essayer de nous vendre des colifichets (seul endroit en Indonésie où c'est arrivé, d'ailleurs).
Notre route aujourd'hui, 112 km en 3 heures
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25 JUIN : SNORKELING AMED (BALI)
Nuit pas terrible, le cocktail à l'arak (40% alcool) est peut-être responsable...
Aujourd'hui, le proprio du homestay nous a organisés une journée bien spéciale. Un de ses amis pêcheurs vient nous chercher vers 9h et nous amènera :
1- faire du snorkeling sur le site d'un vaisseau japonais coulé
2- faire du snorkeling sur 2 bancs de corail parmi les plus beaux du coin
3- faire du snorkeling nautique (équivalent du ski nautique, mais sous l'eau), à 2 endroits différents
4- tricher en snorkeling en donnant à manger aux poissons pour les attirer.
Et ce soir, la cuisinière du homestay nous a proposés de manger du vivaneau (snapper, en anglais, pas la tortue), apporté par un pêcheur ce matin. Avec des frites. Délicieux!
P.S. Pas encore vraiment trouvé de beaux coraux en santé en Indonésie. Je sais que ça existe, mais ils sont très loin des sites touristiques et sûrement pas près de Bali! Et les poissons sont beaux, mais rien de comparable au Mexique ou Cuba (ceux que je connais). Mais c'est le fun pareil.
Petit déjeuner sur la plage
Beau soleil sur le volcan Ajung
Notre petit bateau qui nous amènera voir les petits poissons
Nous allons directement au Japanese Ship Wreck, à quelques kilomètres de l'hôtel, puis nous ferons 3 arrêts/activités sur le chemin du retour
Les restes du bateau japonais, au Japanese Ship Wreck, entourés de tout plein de petits poissons
À un autre spot de snorkeling, une tortue, très recherchée par les amateurs de plongée/snorkeling du coin
Jacques est content, c'est la première fois qu'il fait du snorkeling et qu'il voit les poissons! Parce que le snorkeling quand tu ne peux pas mettre tes lunettes, ce n'est pas très rigolo.
La tache noire en arrière du bateau, c'est moi qui me laisse trainer (comme en ski nautique, mais sous l'eau, très rigolo et relaxant). Ci-dessous), c'est avec Jacques, la première fois, filmé n'importe comment (zéro Youtubeuse, je vous l'ai dit!)
Est-ce que je recommande cette sortie? Bon, ce n'est pas très cher, environ 30$ pour les deux en tout, on peut voir 4 des spots les plus renommés du coin, mais encore une fois, je ne suis pas impressionnée par la qualité des coraux (bof) et le nombre de poissons (rebof). Je n'aurais pas pu y aller, je n'aurais pas trop pleuré, le snorkeling devant l'hôtel était aussi intéressant (bon, pas le top quand même).